La maison d'exception bioclimatique design
France Maisons idf Vaucresson 92
Les « petits » exploits nécessaires
De légèreté et d’élégance
Le client a dit : « Cette maison est faite pour ce terrain au point qu’on pourrait penser qu'il (ce terrain) exigeait une telle construction ». On ne peut mieux révérer l’excellent travail de l’architecte, son imaginaire créatif et ses solutions techniques. Bien qu’imposante, en effet, (320 m2 environ), la transparence de la maison lui confère beaucoup de légèreté et d’élégance.
Le design et la synchronie
Compte tenu du style « design », fort, actuel, de cette réalisation, il eut été tentant de proposer des toits plats (bien dans l’ère)… Mais pour ce parc prestigieux et cet environnement bourgeois, souvent classique, aux volumes et toitures plutôt traditionnels, l’architecte a préféré marier des toits à faibles pentes et des petites terrasses… Et c’est gagné ! L’utilisation d’un zinc pré-patiné gris, à joints debout, la surprenante élégance des rives de cette toiture, « plate » sans l’être, entre autres attributs, soulignent sans ostentation, les qualités conceptuelles et graphiques de cette construction et mettent en valeur, dans la synchronie, son caractère inédit et actuel.
Le geste sûr
La construction de cette maison d’exception fut une nouvelle occasion de confronter les équipes de France-Maisons, concepteurs, collaborateurs, bureaux d’études, artisans, à des pratiques nouvelles, avec des produits nouveaux, donc des complexités nouvelles. C’est la loi de l’évolution.
La confiance, le savoir-faire, l’expérience et le geste sûr permettent d’aboutir à ce résultat remarquable. Ce n’est pas une surprise : c’est une confirmation, et le plaisir est grand d’avoir accompli et additionné les « petits » exploits nécessaires dont ces deux pages rendent compte sans emphase.
Lieu de vie convivial,
cent-dix mètres carrés pour réunir la famille et les amis
Sur environ cent-dix mètres carrés de plain-pied avec le terrain paysager, via une terrasse d’extérieur (10 m2) ; une véranda (12 m2, salon d’été les jours de pluie ou jardin d’hiver), une salle séjour un « coin » repas (coin de vingt-sept mètres carrés), deux cuisines installées sur treize mètres carrés auxquelles on agrège un cellier (8 m2) pour bien circonscrire un ensemble cohérent, est établi ce qu’on pourrait appeler un complexe dédié à la vie familiale, très agréable et convivial. Sur environ cent-dix mètres carrés de plain-pied avec le terrain paysager via une terrasse d’extérieur (10 m2) ; une véranda (12 m2 de salon d’été les jours de pluie ou de jardin d’hiver), une salle séjour un « coin » repas (coin de vingt-sept mètres carrés), une cuisine installées sur treize mètres carrés à laquelle on agrège une cuisine-cellier (8 m2) pour bien circonscrire un ensemble cohérent, est établi ce qu’on pourrait appeler un complexe dédié à la vie familiale, très agréable et convivial.
Inutile de rechercher la véranda dans les catalogues ; elle a exigé les bons soins d’un métallier.
Les poumons de l’espace de vie, le jour ou en soirée, sont la cuisine et la cuisine-cellier installées dans « notre » maison d’exception. Ces deux cuisines se vivent et s’utilisent selon le moment, selon l’humeur, selon le temps, selon l’occasion… selon la nature de la réception. Un petit déj’ précipité par le planning, en cuisine ; un café gourmand au salon, en écoutant Wagner ; un petit plat sur le pouce, au bar ; une raclette entre complices ; un grand dîner à table entre convives, une poularde aux morilles, un jour de fête… Que des instants agréables !
Terrasses et balcons sans seuil
Lambris en bois composite
Rappelons que le bois composite – quand il est de la meilleure qualité – est un matériau très résistant, ce qui ne l’empêche pas d’être très esthétique… et, cerise sur le gâteau, sans entretien, sauf « le coup » de serpillère...
Mais ne parlons pas ménage. Ici, la petite prouesse, c’est « l’effacement » du seuil et la parfaite planéité entre l’intérieur et l’extérieur : exactement le même niveau côté terrasse en bois composite (balcon) et côté intérieur, parquet en chêne massif. Nous avons déjà évoqué ce plaisir particulier de « l’enfance de l’art ».
Fond de fouille et implantation de la maison
Une mise en œuvre à la pointe
Il ne s’agit pas vraiment d’un exploit mais de la constante application de France-Maisons à maîtriser les techniques les plus évoluées dans la conduite de ses chantiers…
Après terrassement de la fouille, le géomètre commandité par France-Maisons, a planté les « jalons » à l’axe des fondations. Époque moderne, l’informatique ne laisse rien au hasard. Les données (plans et armature) fournies par le bureau d’études, sont entrées dans la « machine » (une station topographique couplée : binoculaire, théodolite et GPS apairés) pour un positionnement parfait. L’étude de sol a trouvé le « bon sol » à 3,50 m du terrain naturel, et c’est à cette profondeur que les fondations seront coulées.
Étanchéité et résistance à la charge
Pour éradiquer l’humidité, toutes « les faces contre terre » sont scrupuleusement étanchées. Les murs de blocs à bancher (parpaings spéciaux) sont soigneusement ferraillés, et remplis de béton. Chaque mur de béton banché est « calibré et calculé » par le bureau d’études pour résister aux descentes de charges de la construction et à la pression périmétrique des terres (poussées en périphérie de la partie enterrée).
On peut objecter que c’est « l’enfance de l’art ». Sans aucun doute. Mais un petit coup d’œil sur le démarrage du chantier montre que c’est un art très accompli chez France-Maisons. Edifiant (sans jeu de mots).